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TÉLÉTRAVAIL : LES ENJEUX DE LA RENÉGOCIATION DE L’ACCORD

23 janvier 2024

Le 1er  semestre 2024 verra la renégociation de l’accord Télétravail dont les enjeux seront considérables. Après un engouement pour le Télétravail né de la pandémie de COVID, l’enthousiasme des entreprises s’est émoussé, les dirigeants voyant dans le télétravail la cause du délitement du collectif et de la capacité à intégrer. La Direction d’Axa France ne fait pas exception à la règle, ce qui laisse augurer une négociation difficile.

Conserver le volume actuel : notre souhait

Si la CFDT reconnaît que le tout télétravail n’est pas souhaitable, elle considère que les 3 jours hebdomadaires auxquels nous sommes parvenus constituent un point d’équilibre qui ne doit pas être remis en question.

Préserver de la souplesse dans l’organisation du télétravail pour un meilleur équilibre vie pro-vie privée

La question des modalités de planification des jours de Télétravail sera également un enjeu crucial de cette négociation. La CFDT cherchera à éviter que de nouvelles contraintes viennent interdire de faire du télétravail un facteur d’équilibre entre vie privée et vie professionnelle.

Le smart-working ne peut fonctionner qu’à la condition du télétravail

Par ailleurs, la CFDT n’oublie pas que le smart-working instauré progressivement sur l’ensemble des sites, constitue la contrepartie du Télétravail. Si la Direction envisageait de proposer une régression du volume de télétravail, elle ne pourrait logiquement le faire qu’en remettant en cause les critères minimalistes du smart-working.

Ne pas déroger au principe légal du volontariat

Enfin, même s’il s’agit d’un phénomène plus marginal, nous sont remontées des situations dans lesquelles des salariés se voient quasiment imposés des jours de Télétravail. La CFDT tient à réaffirmer que le Télétravail doit demeurer strictement volontaire et qu’il ne saurait être question de forcer quiconque à y adhérer si tel n’est pas son choix