En cas de réorganisation qui entraînerait la suppression de votre poste :
ça passe ou ça casse !
Plutôt que d’assumer la garantie d’un reclassement, voici les options proposées par la Direction qui ouvrent la voie à un licenciement facilité :
Un reclassement sur une classe de même niveau exclusivement (1 ou 2 propositions)
et ce, même si celui-ci est totalement étranger aux compétences du salarié ou très éloigné de son lieu de vie ;
En cas de refus
des propositions, au choix :
- le congé de mobilité, c’est-à-dire une sortie de l’entreprise sous forme d’une rupture conventionnelle,
- le licenciement pour cause réelle et sérieuse.
La Direction nous explique qu’elle prévoit ce dispositif dans l’accord, mais avec la volonté de ne pas l’utiliser. Il va sans dire que vos élus CFDT s’opposent à inscrire dans l’accord GPEC toutes clauses visant à fragiliser votre emploi dans l’entreprise.