Les Réorganisations, y compris ALHIS, ayant fait l’objet de consultations du CSE, voire du CSEC incluant notre périmètre, voire d’Expertises, pour aménagement important des conditions de travail, modifications du contrat de travail, changements voire suppressions d’activités et de postes, changements de périmètres, externalisations, ainsi que les enquêtes ou alertes, ne semblent pas mentionnées ni traitées dans le cadre du présent DUERP.
- Pour les salariés d’ALHIS en France, inquiets pour leur avenir incertain dans notre Etablissement, la Cfdt réitère sa demande de conserver leur statut d’AXA France, leur permettant en cas de réorganisation de bénéficier de la GPEC avec reclassement dans un poste équivalent, en priorité sur le même site, à défaut dans le même bassin d’emploi, à l’exclusion de tout licenciement.
- La charge de travail jugée forte et non faible par les salariés, les absences non remplacées, le changement d’outils, le turn over dans certains services, entraînent dégradation des conditions de travail, RPS, pouvant aller jusqu’au Burn out.
- Les conséquences du « SMART WORKING » avec bureaux partagés avec un taux de 0,7, 0,6, voire 0,5 bureau par salarié, dans des open space bruyants non cloisonnés ne sont pas traitées.
- Le télétravail jusqu’à 3 jours par semaine, plébiscité par les salariés, comme contrepartie indispensable et nécessaire à l’absence de bureau attribué, et aux mauvaises conditions de transport bondé avec pannes et retards récurrents en constante dégradation, particulièrement en Région Parisienne, peut néanmoins engendrer des risques spécifiques peu ou pas traité aussi : absence d’activité physique, non-respect du droit à la déconnection, absence de séparation vie privée/vie professionnelle, risque d’isolement, accidents domestiques etc…
- Le contexte économique et social, les incertitudes sur l‘avenir, l’inflation non compensée par les augmentations insuffisantes des salaires, la baisse du pouvoir d’achat, les injonctions contradictoires de la Direction entre développement du CA et rentabilité pèsent également sur les RPS, ainsi que les conditions et la charge de travail des salariés.
La plupart des risques, notamment les RPS et la charge de travail, sont sous évalués, voire pas évalués du tout, avec des mesures de prévention insuffisantes.