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Auteur/autrice : Isabelle Ollivier

Les académies pour accompagner les évolutions de carrières doivent progresser.

Les académies ont démarré en 2019 avec la Software Academy, intégrant les salariés pour une formation de Développeur durant 18 mois. Cela s’est élargi à l’IARD, aux Collectives et aux Testeurs.
Ces formations permettent aux salariés de changer d’orientation professionnelle à tout âge (43% ont de 35 à 49 ans et 22% plus de 50 ans).

Toutefois, la Cfdt constate que le parcours de mobilité  n’est pas toujours clair et manque d’accompagnement .

Les salariés doivent obtenir une certification à la sortie de leur cursus, 97% l’ont obtenue. Les salariés qui s’engagent dans cette démarche prennent des risques et font des efforts importants y compris en mobilisant leur CPF. La Cfdt demande une attention particulière pour ceux qui abandonneraient ou ne seraient pas confirmés à l’issue de leur cursus, et qu’ils bénéficient d’un réel soutien RH pour retrouver un poste dans l’entreprise.

La Cfdt regrette qu’en 2025, le nombre de salariés accédant à ces académies diminue. Nous passons de 45 salariés en 2023 à seulement 17 en 2025 (13 en IARD et 4 en Collectives). Nous nous inquiétons également de l’arrêt (définitif ?) des académies IT pour 2025.

Pour la Cfdt, les Académies sont à développer vers d’autres métiers pour accompagner les salariés dans les transformations fréquentes  au sein de l’entreprise.

L’index Egalité reste haut mais l’outil est insuffisant pour mesurer les réels écarts.

L’index est élevé, mais le critère « Écart de Rémunération entre les femmes et les hommes » reste loin du Top.
Si la Cfdt a soutenu la création de cet index, nous avons rapidement constaté que la note ne reflète pas la réalité des écarts de rémunération.

Cette insuffisance a été également soulignée par le Haut Conseil à l’Egalité qui demande l’intégration de nouveaux indicateurs pour mesurer l’écart de rémunération. La Cfdt s’en fait l’écho.
Þ Les écarts entre les femmes et les hommes
Þ Les écarts au niveau des composantes variables et la proportion de bénéficiaires
Þ L’intégration des heures supplémentaires, primes, avantages en nature …
Þ L’écart de rémunération médian
Þ La proportion de femmes et d’hommes dans chaque quartile.
Þ Ventilation de l’écart entre salaire fixe et variable.

La Cfdt souhaite ces évolutions rendues nécessaires par la directive sur la transparence salariale afin d’obtenir une vision plus précise de la réalité et mieux suivre les évolutions en matière d’égalité.

La Cfdt dénonce l’application par la Direction du Congé Paternité chez les salariés commerciaux.

Le congé paternité suspend le contrat de travail, il est précisé dans l’accord qu’il n’y a pas d’incidence sur la gestion du portefeuille.
En retirant l’accès du salarié à son portefeuille, la direction l’expose à ne pas répondre aux attentes de ses clients avec des conséquences possibles sur la relation.

Pour la Cfdt, il est essentiel de trouver un équilibre entre la déconnexion nécessaire et l’intervention occasionnelle sur le portefeuille en cas d’événement important. Cela doit être laissé à l’appréciation des salariés commerciaux.

WASQUEHAL : vie du site

Vol

Des vols dans les bureaux, y compris dans l’espace Belorgey, ont été constatés. la sûreté est informée et des investigations sont en cours.

Bâtiment Cottigny

L’accès au bâtiment Cottigny reste problématique, car les portiques ne s’ouvrent pas toujours après lecture des badges ; difficile en outre de déclarer ces incidents dans « facilites », car le matériel n’y figure pas…
Quant aux fenêtres du bâtiment, elles ne sont pas étanches partout et de simples rubans adhésifs ont été posés pour y pallier ; la logistique est étonnée quant aux rubans adhésif.

Température

Du fait de matériels défectueux, la température par endroits est trop basse dans les 2 bâtiments du site ; des travaux ont commencé et des mesures palliatives ont dans l’intervalle été mises en place.

Sécurité

Intervention d’une société spécialisée pour repositionner et ranger à la DT2 des câbles mis, sans accord du cadre de vie, entre des bureaux eux même déplacés ; un rappel des consignes a par suite été fait.

Matériels informatiques

Concernant la difficulté à avoir du matériel informatique (souris…), l’obligation de passer via le portail « Assistance IT » a également été rappelée.

Fresh-cup

Pour ce qui est de l’installation/remplacement des Fresh-cup dans les bâtiments, une étude est en cours via un appel d’offre multi-services.

Restauration

Malgré plusieurs visites de la direction Sodexo, les salariés restent insatisfaits ; le problème résulterait du comportement du chef, que la direction de Sodexo cherche désormais à remplacer.

NANCY : vie du site

Sécurité Incendie

En matière de plan de prévention sécurité incendie, les problèmes concernant les alarmes inaudibles par endroits ont été résolus ; en revanche, l’installation par le propriétaire des lieux, de flashs dans certains espaces n’est pas à l’ordre du jour pour le moment…

Température

Les thermostats ont été ajustés afin d’avoir une température ressentie de 20° de manière homogène sur le site.

Lounge

L’espace détente et le lounge vont quant à eux être réaménagés et séparés pour plus de convivialité.

Parking

Au niveau du parking, des problèmes d’occupation subsistent ; des encarts mis par le syndicat des copropriétaires rappellent pourtant les règles de vie et de stationnement, et l’enregistrement des immatriculations des salariés permet aussi de laisser un message sur les véhicules non autorisés ; le remplacement du digicode par une ouverture du portail télécommandée est à l’étude, à suivre….

KYC (Know Your Customer)

Dans notre article du 27 février, nous alertions déjà la Direction. Les Organisations Syndicales s’associent pour confirmer cette alerte avec la déclaration suivante :

Le réseau AEP est à nouveau sous pression depuis la mise en place du KYC. En effet à l’origine du projet, tout devait être fait par le client, mais il n’en est rien. Ce sont les collaborateurs du réseau qui répondent aux clients et se doivent de les rassurer.
Le réseau se retrouve à collecter les informations et à faire tout le travail. De plus les demandes aux clients ne se font pas que par voie postale, mais aussi par mail.
Encore une fois les clients n’arrivent pas tous à le faire, sur qui retombe le problème… les collaborateurs du réseau.
Ainsi, nous demandons la mise en place d’une plateforme téléphonique, comme pour les réseaux de distribution AGA et A2P, qui appelle les clients et les aide à renvoyer leurs documents ou encore de mettre à disposition des enveloppes T de retour pour les clients.
Nous vous alertons sur ce stress qui gagne les collaborateurs et les managers et dont le réseau se serait bien passé en ce début d’année.

Vos élus alertent sur la charge de travail des collaborateurs et des managers susceptible d’être engendrée et souligne que le réseau AEP ne dispose pas d’une plateforme comme les autres réseaux de distribution.
La Direction souligne l’importance du processus KYC et prend note des observations formulées.

Réorganisation de la Direction des opérations et du service client

Expertise Préalable adoptée à l’unanimité

Ce projet présente diverses modifications : une réorganisation de la direction des Opérations et du Services en 6 départements, de nouvelles règles de gestion,  un transfert d’activité à la sous-traitance, le transfert et la concentration de missions d’expertise dans le département Pilotage des Opérations Vie du Contrat et Encaissement, le transfert des fonctions process owner au sein du département, la concentration de l’activité en ile de France.

Le CSE estime que ce projet impacte de manière directe les équipes Vie du Contrat et Encaissements des sites de Balma et Strasbourg, soit 17 salariés, mais aussi les équipes d’ile de France qui se verront transférées l’activité et seront pour partie réorganisées, soit environ 120 salariés.

Constats

Plusieurs éléments de ce projet auront des impacts sur les conditions de travail des salariés concernés, dont notamment : des enjeux de reclassement des salariés en régions dont l’activité est sous-traitée ou transférée, des changements de perspectives professionnelles pour les salariés en région, par ailleurs exposés à un choix limité sur le bassin d’emploi, des changements de tâches, de portefeuilles, d’équipes, susceptibles de modifier la charge de travail des salariés, une réorganisation des règles de gestion, et une mise en œuvre en locale de fonctions process, susceptibles de modifier le contenu de l’activité de certains salariés, ou le contenu de certains postes

Ce projet génère un changement important des conditions de travail, au sens de l’article L.2312-8, 4ème alinéa du code du travail.

Le document projet présenté ne comporte pas, notamment : une vision précise et chiffrée des activités transférées aux partenaires(SOGAREP et UGIPS) et des activités Balma et Strasbourg reprises par les équipes de Marly et Val de Fontenay,  un état des lieux qualitatif et quantitatif des partenaires afin de vérifier leur capacité d’accueillir l’activité en garantissant une bonne qualité de service.

La direction n’a pas apporté de réponses ou des réponses insuffisantes, notamment, reclassement sur leurs sites en régions des salariés dont le poste est supprimé, charge de travail notamment pour les salariés restant dont la charge de travail leur serait transférée.

Demande d’expertise

Le CSE décide d’avoir recours à un cabinet d’expertise afin d’examiner les conséquences de la mise en œuvre prévue du projet sur la sécurité les conditions de travail et la santé au travail du personnel et désigne le cabinet ISAST (61-69 avenue de Bercy, 75012 Paris), expert CSE habilité.

La mission confiée aura notamment pour objectifs :

  • L’analyse des impacts du projet sur les perspectives professionnelles des salariés, et la pérennité des activités en ile de France, la réalité et les projections de reclassement pour les salariés concernés, et de suivre leur évolution et les moyens mis en œuvre par l’entreprise.
  • Les conséquences d’un éventuel transfert de charge de travail / modification de la nature de la charge de travail, sur les sites de Marly et Val de Fontenay, les effets sur le maintien des savoir faire en Interne du fait de la sous-traitance, y compris les activités à haut niveau d’expertise, les dispositifs de réorganisation des activités et les changements attenants, les situations en termes de nouvelles conditions de travail générées par ces transformations, les impacts sur les nouvelles conditions de travail du personnel, les dispositions que devrait prendre la direction en vertu de ses obligations (Art. L.4121-1 à L.4121-3 du Code du Travail).

L’expert procédera à toutes les investigations nécessaires et devra notamment pouvoir interroger librement tout salarié de l’entreprise.

DUERP : Document Unique d’Evaluation des Risques Professionnels

La charge de travail jugée forte et non faible par les salariés, les absences ou départs non remplacés, le changement d’outils, le turn over dans certains services, entraînent dégradation des conditions de travail, RPS, pouvant aller jusqu’au Burn out.

Les conséquences du « SMART WORKING » avec bureaux partagés dans des open space bruyants non cloisonnés doivent être traitées.

Le télétravail jusqu’à 3 jours par semaine, plébiscité par les salariés, comme contrepartie indispensable et nécessaire à l’absence de bureau attribué, et aux mauvaises conditions de transport bondé avec pannes et retards récurrents en constante dégradation, particulièrement en Région Parisienne, peut néanmoins engendrer des risques spécifiques: absence d’activité physique, droit à la déconnection, séparation vie privée/vie professionnelle, accidents domestiques etc…

La Cfdt réitère la demande de mise à disposition de gel hydroalcoolique et de lingettes désinfectantes tant pour les bureaux partagés que pour les salles de réunion.

La Cfdt demande également à la Direction de prendre les mesures immédiates qui s’imposent par rapport à la présence de souris, cafards et autres nuisibles, et l’alerte sur la présence de punaises de lit signalée ce jour au T3/6 qui pourrait justifier un droit de retrait.

ALHIS : réorganisation suite

A ce titre, ils pourraient profiter d’un reclassement prioritaire en mobilité interne sur un poste équivalent, sur le même site, à défaut dans le même bassin d’emploi, même en cas de réorganisation ou de suppression de poste ou d’activité, à l’exclusion de tout licenciement.

Ayant appris la volonté de la Direction de présenter au seul CSEC, à l’exclusion du CSE ASC, la prochaine réorganisation d’ALHIS qui dépend de l’Etablissement ASC.

Le CSE demande à la Direction de présenter cette réorganisation au CSE ASC conformément au Code du Travail, comme cela a toujours été le cas précédemment, au moins pour les mesures d’adaptation spécifiques propres à notre Etablissement, ainsi que pour la partie « CSST ex CHSCT », s’agissant d’un projet important modifiant les conditions de travail voire les conditions d’emploi des salariés d’ALHIS rattachés à notre Etablissement AXA Santé et Collectives/ALHIS.