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Auteur/autrice : Isabelle Ollivier

Déclaration préalable Axa Coupon Opportunité 2 2024-2032 au CSE AEP de mars 2024

La Cfdt constate :
– la complexité et la superposition des règles de commercialisation avec différents critères et pourcentages : 45%, 35% et 30%
– Un manque de formations sur ce sujet.
– Des annulations de e-versement à posteriori alors qu’aucune alerte n’est affichée lors de la saisie           informatique. Qu’en est il de la satisfaction client ? L’impact sur le grenelle du client Axa?
– Que lors de la présentation par AXA IM et par certains encadrants, il a été dit que le e-versement permettait de contourner les règles de souscription.

La Cfdt demande à la Direction, de nouveau, d’uniformiser les formations et le discours commercial! 

La Cfdt quitte la table des négociations de l’Accord télétravail au niveau RSG

Préalablement à cette séance de négociation un projet d’accord nous a été transmis par la Direction.

Ce projet d’accord comporte un paragraphe (voir ci-dessous) que nous avons jugé inacceptable.
« Article 2.1.1. Salariés concernés Le télétravail concerne les seuls salariés qui normalement « auraient dû exécuter leur travail dans les locaux de l’entreprise ». Il ne vise donc pas les salariés nomades ou itinérants, qui exercent déjà une partie de leurs activités hors des locaux de l’entreprise, ni les salariés commerciaux exerçant sur le terrain. L’entreprise définira les conditions d’accès du salarié au télétravail étant donné que ce mode d’organisation est destiné aux collaborateurs autonomes et comporte une alternance entre le travail dans les locaux de l’entreprise et hors des locaux de l’entreprise, en veillant à favoriser le bon fonctionnement des services, prévenir l’isolement du collaborateur et maintenir un lien social avec la vie de l’entreprise. Certaines activités spécifiques peuvent par ailleurs être incompatibles avec un mode de travail à distance. Les entreprises veilleront à développer des formules de télétravail dans le respect des principes du présent accord ».

Ces formules, pour renforcer le sentiment d’appartenance à l’entreprise et favoriser la cohésion d’équipe, seront définies :
– avec une approche hebdomadaire de télétravail,
– en veillant à ce que les collaborateurs passent en moyenne plus de la moitié de leur temps de travail sur site,
– et en organisant la présence des collaborateurs au moins 2 jours par semaine sur site quelle que soit la nature du contrat (temps plein, temps partiel, alternance…).

Accepter de négocier sur la base de ce texte reviendrait à accepter un recul significatif du Télétravail dans l’ensemble des entités de la RSG, les différentes entités se trouvant ensuite pieds et poings liés et dans l’impossibilité de négocier un accord adapté à l’activité de l’entreprise. Par ailleurs, les reculs actés au niveau de la RSG ne laisseraient plus aucune latitude pour négocier d’éventuelles contreparties à des adaptations acceptables.

Les trois OS représentatives au niveau de la RSG se sont accordées sur une déclaration commune (voir ci-dessous) qui a été lue par la Cfdt en début de séance, à la suite de laquelle nous avons quitté la séance :
Depuis plusieurs mois, nos organisations respectives, remontons notre inquiétude quant à un éventuel recul de vos propositions dans la négociation télétravail.
Le texte proposé aujourd’hui nous pose un problème de forme et de fond.
De forme, parce qu’il introduit dans l’accord Groupe des dispositions trop normatives qui vident de substance les futures négociations entreprises.
De fond parce que vous introduisez une proposition inutile, incompréhensible et inacceptable !
Inutile parce l’accord actuel est le fruit d’un délicat équilibre et que le groupe a su dépasser ses objectifs dans ce contexte.
Incompréhensible parce que nous ne voyons pas l’articulation entre vos propositions.
Et inacceptable parce qu’inéquitable et en recul pour les salariés.
Nos trois organisations souhaitent ardemment aboutir à un accord, mais nous ne pourrons commencer à discuter que lorsque vous aurez retiré du texte la dernière partie de l’article 2.1.1. avec ses 3 dispositions.

Cet après-midi se déroulera la première séance de négociation de l’accord Télétravail Axa France. Nous ouvrirons la séance en manifestant notre désaccord avec l’approche RSG et conditionnerons notre éventuelle signature de l’accord à la préservation d’une véritable autonomie dans la négociation.   
Nous vous tiendrons au courant

Le site de NANTERRE continue d’évoluer

  • Ouverture du café Joyeux le 18 mars
  • Nespresso sera en libre-service dans la rue intérieure au niveau de la T3
  • Proposer un environnement où les collaborateurs pourront se détendre et se restaurer.

Ouverture le 15 avril d’un espace complémentaire de restauration (avec micro-onde, lave gobelet, bornes de tri et réfrigérateur) à la place du kiosque informatif.

Création d’un espace Desk conciergerie sera créé entre le T1 et le T5 pour toute information sur les services proposés sur le site mais aussi pour la réservation des salles de Conférence du T1 et la future grande salle de 80 personnes.
Dorénavant, les autres salles du mail seront réservables par l’outil en ligne.

RESTAURATION suite mais jamais fin!

Fréquentation constante aux Halles en janvier et février, ainsi qu’une amélioration de la reconnaissance des plats aux bornes. Malgré des débuts difficiles, il y a eu une hausse de la fréquentation également au FoodChéri.
Mise en place d’un menu printemps avec un plat végétarien par jour, ainsi que des animations prévues pour Pâques et une odyssée des saveurs grecques en avril 2024.
Une nouvelle grille de revalorisations tarifaires de 15 centimes entrera en vigueur le 1er avril 2024, avec une admission à 6,75 € TTC et un gel des tarifs TTC jusqu’au 1er février 2025.

Des enquêtes flash seront également lancées pour recueillir les avis des convives.
De plus, le Label Perma sera mis en place, avec une conférence prévue pour informer les salariés.

Le Café joyeux ouvrira de 7h30 à 15h à compter du 18 mars, avec la possibilité de déjeuner à terme avec la carte Tickets restaurant.
La pizzeria Trattoria proposera 2 pizzas au choix par jour ainsi que des pâtes italiennes, avec une borne d’auto-encaissement.
La brasserie XXL du T5 (Auguste) et la pizzeria ouvriront le 13 mai 2024, offrant un QR code pour commander ses plats et un accès wifi Sodexo.

Projet BIC de Caen Fleury sur Orne (INSTANCE DE PROXIMITÉ AEP Février 2024)

Le BIC actuel se trouve dans un immeuble qui a été vendu à une entreprise de formation, cette dernière demande à AXA de quitter les lieux.
La salle de réunion semble sous-dimensionnée et ne permettra pas à l’IMC de réunir tous les salariés, alors qu’il y a une perte de place avec la grandeur du couloir de circulation.
La surface du nouveau BIC sera plus grand ( 282 m² contre 220 m² actuellement), avec 10 places de parking.
Ce BIC ne comptabilisera que 10 postes de travail pour 23 commerciaux, 6 PA ainsi que d’éventuels mandataires, mais il serait bien au-dessus des normes d’AXA France (8 postes AEP et 6 postes PA).
La Cfdt relève un souci sur le positionnement du point de rassemblement qui parait trop proche de l’immeuble.
Les travaux commenceraient le 30 avril 2024 pour un emménagement au 21 mai 2024.

Application SOMEO (INSTANCE DE PROXIMITÉ AEP région OUEST Février 2024)

SOMEO est un outil de lutte contre la somnolence au volant dans le cadre de la prévention des risques routiers.
Deux ateliers de sensibilisation ont été organisés pour présenter l’application, et les collaborateurs recevront un lien d’activation par courriel, mais resteront libres de l’utiliser ou non.
Un questionnaire instructif est proposé aux collaborateurs, et ces derniers sont encouragés à y participer. De plus, la Cfdt montre de l’intérêt pour ce questionnaire très instructif quant à son comportement au quotidien.
En outre, l’application sera déployée dans le réseau AEP avant d’être proposée aux itinérants PA.
L’application a été déployée l’année dernière dans le Nord-Est et Sud-Est, et qu’elle le sera cette année dans les régions Sud-Ouest et Ouest.

Perspectives BICs 2024-2025

Fin de projet de standardisation des BICs
– Dernier site du projet : Cahors avec une ouverture programmée le 17 juin.

Autres déménagements
CAEN : Ouverture le 20 mai
MULHOUSE : Présentation en CSE AEP les 23 et 24 avril
BASTIA : Ouverture le 20 mai
NIORT : Ouverture le 10 juin

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ALHIS

A l’occasion de la présentation des résultats d’ALHIS, la Cfdt attend de connaitre le positionnement de la BU Santé Europe et rappelle sa demande de maintien du statut d’AXA France pour les salariés d’ALHIS en France, afin notamment de bénéficier de la GPEC qui en cas de suppression de poste leur offre la possibilité d’un reclassement sur un poste équivalent en priorité sur le même site, à défaut dans le même bassin d’emploi, à l’exclusion de tout licenciement.

Réorganisation de la BU AXA Santé et Collectives

Le projet de Réorganisation a pour finalité d’améliorer la position d’AXA sur le marché du Middle au moyen principal d’une augmentation de la productivité commerciale.
La BU ERE n’est pas impactée par cette réorganisation qui consiste principalement à spécialiser les fonctions commerciales par réseaux (exclusifs d’une part, courtage d’autre part), et la souscription par clients (Exclusifs / Courtage Middle et Grands Comptes), l’objectif principal étant un fort développement sur les réseaux exclusifs et le Middle Market.

Suite à l’Expertise ISAST, les élus relèvent les points d’inquiétudes suivants :
– Un décalage dans la perception du projet et de sa communication entre la Direction et les équipes,
– Un manque d’information sur l’appréciation de la charge de travail future,
– Un manque d’information sur les mesures concrètes d’accompagnement dont pourraient bénéficier les salariés.

Le projet prévoit une augmentation des résultats (parts de marché) :
– A effectif quasiment constant, et sans préciser aucunement des évolutions potentielles à venir,
– Sans définir clairement l’ambition chiffrée attendue, ni donner de calendrier de cette ambition de développement,
– Sans apporter de réponses fortes sur les moyens commerciaux visant à accompagner cette ambition,
– Sans mentionner comment seront définis et quantifiés les objectifs quantitatifs et qualitatifs attendus, avec le risque de voir des objectifs irréalisables ou mal acceptés,
– Sans réelle étude d’impact sur la charge de travail générée par cette nouvelle organisation, et ce tant au niveau des équipes Commerciales que Souscription,
– Sans documenter les éventuelles conséquences de cette réorganisation sur la santé des salariés (périmètres géographiques étendus, stress, etc…)

  • Alors qu’il y a des pertes de productivité contextuelles liées à la réinitialisation partielle des relations commerciales pour les inspecteurs collectives généralistes (apporteurs et périmètres des circonscriptions), en particulier les seniors dont le portefeuille plus ancien est d’autant plus impacté par ce changement
  • Alors qu’il y a une focalisation sur les agents qui sont par nature moins contributeurs 
  • (sans compter l’agrandissement de circonscription courtage généraliste en province pouvant entrainer des déplacements au-delà du raisonnable)
  • Alors qu’il y a un turn over élevé sur la fonction souscription

En conséquence, les salariés risquent de voir leur travail être intensifié, et/ou se voir attribuer des objectifs irréalisables

Le projet pose un enjeu de rémunération variable assez clair, largement identifiés par les salariés. En particulier du fait que les objectifs semblent augmenter sur 2024, sans tenir compte des pertes de productivité contextuelles citées précédemment.
Le projet « normalise » la perte de relations commerciales de certains inspecteurs. Ce faisant, cela représente tout à la fois une « négation » du travail accompli, et une minoration d’une nouvelle situation de travail avec moins de ressources pour accomplir les objectifs.
La charge de travail des souscripteurs doit être évaluée ainsi que l’équilibre des effectifs des équipes sur leur marché respectif et l’entraide entre celles-ci doit perdurer.

Les représentants du personnel demandent :
Une commission de suivi sur les équilibres des effectifs en souscription et dans les 2 équipes commerciales, Exclusifs et Courtage Middle,
Un engagement de la direction pour un renfort en cas de surcharge d’activité en souscription ou en compte,
Le même engagement pour la gestion aussi, car l’augmentation du volume d’affaires aura un impact sur ces services. Ils sont déjà débordés, il y a eu des départs dernièrement et il y en a d’autres prévus à court terme,
De préciser les éventuelles adaptation des effectifs, et/ou de la sous-traitance selon des hypothèses de gains de part de marché
Le CSE rappelle néanmoins qu’il reste opposé à tous les projets de transferts d’activités qui s’inscrivent dans le cadre d’externalisations et de délocalisations à moindre coût du travail au détriment de l’emploi statutaire dans Axa France.
De reconnaitre le « point de passage » que constitue cette réorganisation pour les inspecteurs, de valoriser le travail accompli, et de donner de la visibilité sur l’adaptation des objectifs nécessaire à l’accompagnement des salariés qui changent de portefeuille client, en particulier pour les salariés avec une forte ancienneté.
Mise à l’ordre du jour en CSE d’un point de suivi trimestriel sur l’avancée de la réorganisation et sur les mesures prises en cas de détection de situations où les conditions de bien-être au travail ne sont pas réunies.
De compenser les salaires variables sur 2 ans pour assumer la réorganisation

Le CSE rappelle sa demande d’application de l’article 56 ter de la CCNI pendant 2 ans à l’Inspection Collectives Généralistes :
– Garantie de la rémunération variable des Inspecteurs en raison du changement des circonscriptions par application de l’article 56 ter de la CCNI à l’Inspection Collectives Généralistes, auparavant tous réseaux, désormais soit réseaux exclusifs, soit courtage.
– Par extension, garantie des CRV et PPEI pour les salariés administratifs impactés,

La Direction accepte l’application du 56 ter de la CCNI pour 2024 ; pour 2025, application d’une clause de revoyure fin 2024/début 2025, pour voir son éventuel renouvellement pour 2025.
Pour les salariés administratifs, la Direction ne veut pas prendre d’engagement, mais accepte d’examiner les éventuelles dérives dans le cadre de la commission de suivi constituée au sein du CSE amenée à statuer sur le renouvellement éventuel du 56 Ter pour 2025 et sur les équilibres des effectifs en souscription.
La retraite reste intégrée dans l’activité de l’Inspection Collective généraliste.

VIE DES SITES : INSTANCE DE PROXIMITÉ (RP) FEVRIER ET MARS 2024 SUD-OUEST

BALMA :
En cours: changement des stores au 2ème étage, réparation des fuites d’eau au 3ème étage.
Vidéosurveillance :
Renforcement de la sécurité intérieure par de nouvelles caméras installées dans le hall principal.

PESSAC :
Restaurant d’entreprise : Renforcement de la sécurité intérieure et extérieure par 5 caméras (la fenêtre du bureau du gérant a été fracturé).
Parking bâtiment H : l’arbre abimé par la tempête a fait l’objet de discussion entre le propriétaire du site et son assureur.
Il sera retiré, la place PMR et les places visiteurs seront de nouveau accessibles