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Auteur/autrice : Isabelle Ollivier

Résultats de l’enquête QVT RPS (avril / mai 2024)

Sur la charge de travail et l’organisation si la Direction dit que le point est entendu, que c’est un sujet AXA mais aussi sociétale n’est pas une vraie réponse.
La Cfdt attend de vraies actions.

L’enquête QVT s’est déroulée du 16 avril au 3 mai 2024 (PA et PC)
▪ Des tendances stables vs 2023 et 2022
✓ Le taux de satisfaction au travail est noté à 7 (6,9 en 2023)
Le niveau de stress ressenti se maintient à 5 (identique à 2023)
▪ Les points d’attention restent similaires à ceux de 2023 :
Prioritairement, la charge de travail : elle reste jugée importante (7,4) notamment en termes d’intensité du travail (2,3), d’interruptions de tâches (3,3), de polyvalence (3,4) et de perturbations du travail (5) débordement du travail (6,1)
L’organisation du travail : l’aménagement des espaces de travail avec la concentration (5,2) et collaboration (6,7) et les réunions restent en creux avec poids des réunions (6,1), préparation des réunions (6,7) et intérêt des réunions (6,5)
Reconnaissance : les perspectives de carrière (5,5) de mobilité (6,1), le soutien RH (5,8), l’équité/justice (6,5)
Ambiance / soutien face au public : La maitrise des émotions (3,5), les tensions avec le public (5,2) et la confrontation avec la souffrance (5,9) restent des sujets d’attention.

La Direction est déçue du taux encore faible des répondants : il a été argué que certains ne voyaient pas la concrétisation de leurs commentaires dans l’enquête.

Vente d’AXA IM

La nouvelle visant à vendre AXA IM, annoncée officiellement début août, est un véritable coup de tonnerre ressenti par les salariés après les nombreux efforts qu’ils ont fournis et un récent plan de Rupture Conventionnelle Collective (RCC).

Pourtant AXA IM est une entité profitable, avec un résultat opérationnel de 400 millions d’euros en 2023 et gère près de 850 milliards d’euros d’actifs pour AXA et ses clients.

Bien que ce secteur d’activités ait connu une forte concentration ces dernières années, le Groupe a les ressources nécessaires pour conserver cette activité.

Il est important de rappeler qu’AXA IM était partie intégrante du nouveau plan stratégique comme un « acteur de grande envergure avec des capacités distinctes ». La direction avait également mis en avant le « modèle de co-construction d’AXA IM », conçu pour élaborer des offres répondant aux besoins et préférences des marchés locaux en collaboration avec les différentes entités, dont AXA Santé & Collectives.

À ce jour, AXA IM gère 90 % des actifs sous gestion du groupe AXA. Cette décision ne rassure personne au sein du Groupe. Nous sommes pleinement mobilisés pour défendre les acquis et les emplois dans ce contexte de cession d’activité et nous demandons l’application de l’article 1224-1 du code du travail avec reclassement des salariés sur un poste équivalent ainsi que le maintien du CSE pour l’entité autonome chargée de l’intégration jusqu’au prochaines élections.

Cette vente annoncée d’AXA IM à la BNP se traduirait par une perte d’avantage compétitif pour les Collectives et autres entités d’AXA qui pouvaient obtenir d’AXA IM des conditions préférentielles pour réaliser leurs affaires et conserver leur leadership sur le Marché.

Cette vente se fait au profit des seuls actionnaires d’AXA et au détriment de l’Entreprise et des salariés d’AXA.

La substitution par la BNP, concurrent d’AXA, de ce partenariat avec AXA IM ne risque-t-il pas de se faire au détriment des entités d’AXA ?

Bilan 2023 et Programme 2024 de Prévention des Risques Professionnels et d’Amélioration des Conditions de Travail

La CFDT constate à nouveau que les Effectifs CDI sont en forte baisse en raison de l’externalisation/sous-traitance des activités à moindre coût au détriment de l’emploi statutaire dans AXA France : la CFDT ne cesse de dénoncer depuis toutes ces années la politique de la Direction d’externalisation croissante des activités de gestion, à la SOGAREP, UGIPS et autres ainsi qu’au MAROC destinée à réduire le coût du travail au détriment du statut des salariés d’AXA France, autre dossier où nous avons été consultés, ALHIS avec le retrait de l’activité internationale Local Solutions.

Au regard de ce bilan, nous constatons qu’il ne reste plus que 45 CDI non-cadres, à contrario le nombre de contrats CDD, alternants, et apprentissage de professionnalisation est supérieur à celui des CDI. A noter l’absence de plan de formation d’évolution des salariés non-cadres vers une classe 5-Cadres, afin d’éviter toutes difficultés de reclassement lors de suppression de leur poste ou de réorganisation.

L’augmentation de la charge de travail et le manque d’effectif dans certains secteurs entraînent une dégradation des conditions de travail, ainsi que des surmenages, voire des Burn Out, chez les jeunes et les seniors.

Nous constatons une augmentation des absences pour cause de maladie, de même pour les journées d’absences, ainsi que des départs en retraite en hausse dus, peut-être, à des réorganisation et disparitions d’activités, par la mise en place de mesures de fin de carrière pour les salariés proche du départ ne pouvant être reclassés,

Les Réorganisations, y compris ALHIS, ayant fait l’objet de consultations du CSE, voire du CSEC incluant notre périmètre, voire d’Expertises, pour aménagement important des conditions de travail, modifications du contrat de travail, changements voire suppressions d’activités et de postes, changements de périmètres, externalisations, ainsi que les enquêtes ou alertes, ne semblent pas mentionnées ni traitées dans le cadre du DUERP et du PAPRIPACT

Pour les salariés d’ALHIS en France, inquiets pour leur avenir incertain dans notre Etablissement, la Cfdt réitère sa demande de conserver leur statut d’AXA France, leur permettant en cas de réorganisation de bénéficier de la GEPP (ex-GPEC) avec reclassement sur un poste équivalent, en priorité sur le même site, à défaut dans le même bassin d’emploi, à l’exclusion de tout licenciement.

La surcharge de travail, les absences non remplacées, les changements d’outils, le turn over dans certains services, entraînent une dégradation des conditions de travail et des RPS pouvant aller jusqu’au Burn out.

Les conséquences du « SMART WORKING » avec bureaux partagés avec un taux de 0,7, 0,6, voire 0,5 bureau par salarié, dans des open space bruyants non cloisonnés ne sont pas traitées.

Le télétravail jusqu’à 3 jours par semaine, plébiscité par les salariés, comme contrepartie indispensable et nécessaire à l’absence de bureau attribué, et aux mauvaises conditions de transport bondé avec pannes et retards récurrents en constante dégradation, particulièrement en Région Parisienne, peut néanmoins engendrer des risques spécifiques peu ou pas traité aussi : absence d’activité physique, non-respect du droit à la déconnection, absence de séparation vie privée/vie professionnelle, risque d’isolement, accidents domestiques etc…

Le contexte économique, social, et politique, les incertitudes sur l‘avenir, l’inflation non compensée par les augmentations insuffisantes des salaires, la baisse du pouvoir d’achat, les injonctions contradictoires de la Direction entre développement du CA et rentabilité pèsent également sur les RPS, ainsi que les conditions et la charge de travail des salariés.

Congés payés pendant les arrêts maladie : où en sommes-nous?

Depuis un arrêt de la cour de cassation d’avril 2024, l’employeur a l’obligation de régulariser les « congés payés » non crédités depuis 2009, à la suite d’arrêts maladies.
Les travaux sont encore en cours notamment sur la partie communication aux salariés.
Mais à retenir que les travaux sont déjà engagés avec les prestataires en vue d’une mise en œuvre opérationnelle qui devrait avoir lieu d’ici le 4eme Trimestre 2024 sous Pléiades et qu’une information aux collaborateurs concernés sera faite.
La mise à jour des pages « Mon portail RH » est en cours d’élaboration avec un pavé Questions/Réponses.

Salesforce : inviter rime avec modernité de l’outil

Alors qu’un salarié du réseau se doit d’inviter son N+1, son IFS, etc, via Salesforce et d’indiquer chaque déplacement dans l’outil, il n’en va pas de même pour les inspecteurs qui ne n’envoient pas leur invitation par l’outil pour les réunions et autres séminaires organisés.
Dans la région Sud-Ouest, cela se fait par un simple mail (dans l’énorme masse reçu)….
La Direction Commerciale AEP Sud-Ouest en fait part à tout son encadrement commercial, afin que l’IMC fasse une invitation groupée que chaque collaborateur recevra individuellement.
A noter que l’IMC doit prendre la précaution d’insérer l’ordre du jour pour que les remboursements des frais puissent se faire.

CONCUR : RDO Sud-Ouest quesako?

Un RDO « Relai Digital Outil » est un rôle qu’assurent les IMC et les IFS RDO, du fait de leur proximité avec les collaborateurs terrain. Ils sont susceptibles d’aider et accompagner leurs équipiers dans la montée en compétences sur les gestes outils, à partir de cas concrets.
Ils ont aussi la capacité de relayer les sujets à l’équipe Projet.
Certains RDO ont organisé des points post déploiement CONCUR et ont fait remonter les questions posées à ces occasions.
De son côté, l’équipe Projet CONCUR organise des points tous les 15 jours avec les IFS RDO, pour traiter de différentes problématiques rencontrées et partager les informations.

Identification des IFS RDO Sud-Ouest
Ils sont 3 RDO sur la région Sud-Ouest : Jean-François GAUDINIERE pour la DV Nord-Atlantique, Marlène JOB pour la DV Sud-Atlantique (qui succède à Dominique LANCE) et Patrice PAULS pour la DV Est-Méditerranée.

Certaines anomalies ne sont pas liées à CONCUR même, mais ont pour origine, un mauvais suivi du process par le collaborateur.

Réclamations individuelles pour la région du Sud-Est

Un salarié qui commercialise des FCPI doit-il être habilité MIF2 et habilité Banque ?
Le salarié doit être habilité MIF2 afin d’être autonome et pleinement commissionné, sinon il aura besoin de Drouot Estate. Il n’a pas besoin d’être habilité IOBSP.

Une chargée de clientèle qui fait une affaire de 300.000 euros le 21/03/2024 avec la gestion privée, et qui prend un poste de responsable de clientèle le 08/04/24, avec MA sera commissionnée le mois où les fonds sont encaissés donc lorsqu’elle aura le statut avec MA. Elle pourra faire une réclamation via son IMC au service commissionnement pour toucher 100% de sa commission.

Arrêt de travail : Un salarié, en arrêt de plus de 5 mois, peut reprendre le travail même s’il n’a pas passé sa visite médicale pour sa reprise. Il a l’obligation d’informer sa hiérarchie de la date de sa reprise. L’employeur a 8 jours pour organiser la visite de reprise. La société ne le fera reprendre qu’avec l’accord du médecin du travail.

Convocations à jury : Dans les courriers, il est précisé « chacun doit être inscrit à minimum sur 1 jury dans l’année. En cas de contretemps de dernière minute qui l’empêcherait de participer, charge à lui de trouver un remplaçant parmi ses collègues ». L’IMC est en charge de trouver le remplaçant. A défaut, un formateur assurera le remplacement, mais cela doit resté très rarissime.

Congés sabbatique : Un animateur prend un congé sabbatique au 1er janvier 2025 aura sa prime sur objectif sur l’année 2024 versé en février 2025. A son retour, il retrouvera son poste ou un poste similaire dans l’entreprise.
Ses congés payés du millésime 2024 2025 devront être posés avant son congé sabbatique, à défaut ils seront perdus car il n’y aura pas de report possible. Concernant ses jours de formation s’il reprend son activité au 1er septembre 2025.
Pour rappel : les avantages prévoyance et santé ne sont pas maintenus pendant un congé sabbatique, mais le BCAC a une offre disponible.

Le rattrapage du paiement des JRI non réglés pour les IAC depuis leur nomination aura lieu sur ce quatrième trimestre.

Enquête ma vie sur site (ou sur BIC :) )

Cette enquête, faite auprès de 3000 collaborateurs, s’est déroulée du 24/06/ au 12/07/24 et a recueilli un taux de 26,5% de participation.

  • Satisfaction sur site 6,1/10 contre 6,8% chez les PA
  • Convivialité sur site 6,2/10
  • Taux participation SUD-EST 32,4% soit 210 répondants sur les 648 collaborateurs ciblés.

Constat important de l’enquête : la conciergerie ONE est méconnue alors que 65% des répondants sont intéressés par les services proposés.
Pour que les réponses soient traitées, et donc conserver l’anonymat des répondants, il fallait au minimum 10 répondants sur le BIC.