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Auteur/autrice : admin4544

Explosion de la rue St Jacques

notre collègue, Pascale Maluenda, de la mutuelle St Christophe
grièvement blessée est malheureusement décédée.

Le mercredi 21 juin est survenue une explosion rue St. Jacques à Paris, à proximité immédiate du site de la Mutuelle St. Christophe. Une salariée de la Mutuelle qui quittait les locaux a été grièvement blessée lors de cette explosion.
La CFDT exprime tout son soutien à la victime et à ses proches.
Elle manifeste aussi sa solidarité à l’égard de toute l’équipe de la Mutuelle St. Christophe confrontée à cet événement particulièrement traumatisant.
Les salariés de la MSC sont hébergés au T9 le temps des travaux.

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Prêts AXA BANQUE

Alors que les salariés d’Axa France ont depuis de longues années eu accès à des prêts immobiliers à taux préférentiel, d’abord directement auprès d’Axa France puis auprès d’Axa Banque, a été annoncée la suspension de l’activité « prêts immobilier par Axa Banque ». Nous regrettons qu’une exception ne soit pas prévue pour les salariés de l’entreprise qui se voient ainsi privés d’un avantage qui pouvait s’avérer déterminant dans l’acte d’achat.

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Frais kilométriques itinérants

La CFDT obtient un nouvel échange avec la Direction concernant le surcoût des kilomètres personnels pour les véhicules de fonction. Il n’est pas acceptable que l’entreprise facture aux salariés de terrain des coûts supérieurs aux coûts réels. La CFDT demande des modalités de calcul qui aboutissent à un coût plus en phase avec la réalité, même si cela doit s’accompagner d’un recalcul régulier.

Un point doit être prochainement fait sur la prestation de SOLUCAR, nouveau partenaire pour la gestion de la flotte.

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Votre restauration aux terrasses change de prestataire

Suite à appel d’offre, SODEXO gérera désormais la restauration de tous les sites d’Axa France. À Nanterre SODEXO succède à EXALT. La CFDT rend hommage aux équipes d’EXALT qui ont fait face à la période COVID avec fermeture des restaurants et périodes de chômage complet et partiel.

Malgré ce contexte difficile, leur engagement au service du bien-être des salariés d’AXA France ne s’est jamais démenti.

Pour la suite, CFDT veillera au maintien de la qualité des produits et des prestations proposés par SODEXO.

Pour finir, la CFDT veillera à ce que les salariés d’EXALT soient reclassés ou transférés chez SODEXO sur la base du volontariat, avec maintien des salaires et avantages acquis.

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CSE Central du 4 juillet 2023

Résultats de l’enquête QVT

La satisfaction globale est identique à l’an dernier (6,9/10) mais le niveau de stress progresse à 5/10 (4,8 en 2022) avec une progression du nombre de salariés (26%) qui expriment un stress élevé.

La charge de travail est importante et se développe (7,4) notamment en raison de l’intensité du travail, des nombreuses interruptions dans l’exécution des tâches et de la polyvalence subie.

Le rapport charge de travail par l’autonomie permet de mesurer si l’activité est ou non tendue. Elle apparaît comme telle, notamment sur les sites de Lyon, Angers, Châteauroux ou Rennes.

Au rang des points positifs, les interactions entre salariés et managers (8,2). Ainsi que l’utilité ou l’intérêt du travail (8,3).

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La Cfdt observe que ces résultats mettent en évidence des réalités différentes selon les services ou les sites. La tension dans les effectifs de certains services et l’intensification du travail, due notamment aux différents chantiers AxaWay ou Axion, pénalisent la charge et l’intensité du travail et augmentent le stress. La Cfdt fait périodiquement état des services les plus impactés et parvient parfois à obtenir les effectifs nécessaires. Dans d’autres cas la Cfdt se heurte à la cécité ou au déni de la Direction, alors même que l’expérience témoigne du fait que la situation s’améliore lorsque les recrutements nécessaires finissent par être décidés. Trop souvent la Direction attend d’outils ou de réorganisations des gains de productivité qui ne sont pas au rendez-vous. Il s’ensuit une situation difficile pour les salariés qui endurent le sous-effectif.


Les agents de sécurité en première ligne aux terrasses :

La CFDT tient à remercier le Service de Sécurité d’AXA FRANCE aux Terrasses, prestataires inclus, pour avoir assuré une permanence jour et nuit depuis mercredi dernier pour protéger les locaux. Nous leur devons la préservation de notre outil de travail, ce qui a permis aux salariés de revenir sur le site en toute quiétude.


La Direction client veut améliorer l’image AXA :

La stratégie de la Direction pour être la société d’assurance préférée des clients est fondée sur la communication et la mesure de la satisfaction client. La Cfdt insiste elle sur l’atout majeur que constitue l’engagement des salariés, pour peu qu’ils puissent travailler dans de bonnes conditions avec une charge de travail acceptable.

La campagne de communication a porté ses fruits et des résultats au delà des attentes (+ 12 pts/norme).

L’image d’AXA a dépassé la moyenne marché de 2 points. C’est une première en 10 ans.

Pour 2023, la Direction donne ses priorités :

  • Refondre l’écosystème digital d’AXA France,
  • Renforcer l’orientation client,
  • Travailler sur les réclamations dans le cadre des évolutions règlementaires,
  • Les Grenelle du client dans les différents réseaux,
  • L’assurance inclusive,
  • Une nouvelle approche marketing segmentée et la déclinaison de la stratégie de marque AXA FRANCE.
La Cfdt se félicite de voir la marque progresser. Au-delà des succès de la communication, c’est le fruit de l’investissement quotidien des salariés et des réseaux.

La Direction lance son nouveau slogan « Pensons Client ».
Pour y parvenir, l’attention est portée sur :

  • Les parcours client,
  • La communication auprès du client (écrite et orale),
  • Les pratiques RH et nos comportements,
La Cfdt attire l’attention de la Direction sur la pression et les objectifs qualité portés par les salariés. Ceux-ci ne sont tenables que si la charge de travail est adaptée. Or, nous dénonçons régulièrement des charges importantes dans les services de gestion. Il est nécessaire de recruter dans les services qui subissent cette surcharge d’activité.
Une autre alerte concerne les outils. Certains outils (SalesForce, Genesys Cloud …) génèrent des irritants dans l’activité quotidienne et une surcharge de travail. Cela est à l’origine d’une tension chez les salariés qui tentent de protéger le client. La Direction doit accélérer la résolution des irritants et des dysfonctionnements outils.

Un nouveau bail pour Val-de-Fontenay

Les 900 salariés du site de Val-de-Fontenay sont rassurés de voir le site maintenu. La Direction présente le projet de nouveau bail destiné à réduire les espaces en vue du passage en smart-working, mais les informations fournies sont confuses et mélangent AXA Banque et Axa France.

Une restitution de surfaces est prévue fin mai 2025, avec conservation des étages 4, 5 et 6 pour Axa France et 7 et 8 pour AXA Banque, ainsi qu’un hall du RDC, soit 70% des surfaces actuelles (±19 500 m2). Le restaurant sera maintenu (non compris dans ces surfaces) et 300 places de parking seront disponibles.

Des travaux d’aménagement seront nécessaires pour passer en SmartWorking et moderniser les locaux (Lounge, salle de réunions …). Une consultation des instances interviendra en 2024.

L’investissement sera amorti en 18 mois du fait des économies de loyer.

La Cfdt souhaite savoir quelle part sera consacrée aux parties communes (accueil, circulation ..) et quelle part à l’espace de travail pour AXA France, notamment compte tenu de nos obligations (espaces Belorgey…), il est important de bien évaluer les surfaces nécessaires. Il ne faut pas que la quête d’économie de la Direction se fasse au détriment des conditions de travail. Une expertise du CSE Central pourrait nous permettre d’y voir plus clair si les réponses données s’avèraient incomplètes.

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Édito

Face à des statistiques préoccupantes, l’Entreprise a récemment fait de l’absentéisme un axe de communication prioritaire, ce dont la CFDT ne peut que se réjouir. Le temps où les arrêts de travail de complaisance étaient montrés du doigt comme cause importante des arrêts de travail, avec comme principal remède un renforcement des contrôles, semble révolu. Aujourd’hui, sur la base d’une analyse fondée sur une enquête riche en données, l’Entreprise identifie les caractéristiques de cette dégradation, notamment dans l’objectif de conseiller nos clients Santé/Prévoyance pour lutter contre la flambée de l’absentéisme.

De son côté, forts de leur quotidien auprès des salariés d’Axa France souvent fragilisés psychiquement, les élus CFDT ne peuvent que constater une forte dégradation dans le rapport au travail, la récurrence de l’usage du terme « bienveillance » n’agissant pas comme un remède miracle. Depuis plusieurs années la CFDT est confrontée aux causes d’un malaise qui s’accentue et préconise des mesures concrètes qui ne sont pas retenues par la Direction, d’où son choix de n’être pas signataire du dernier accord QVT d’Axa France. Dans ce numéro de l’Essentiel, nous faisons le point sur quelques pistes qu’il faudrait selon nous privilégier pour que la situation s’améliore.

Christophe Vercoutère

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ABSENTÉISME : Un phénomène qui se développe en lien avec la dégradation de la santé psychique des salariés

Alors qu’une nouvelle négociation QVT (Qualité de Vie au Travail) sera ouverte après l’été, la CFDT, très impliquée sur ce thème, identifie les évolutions qui menacent les conditions de travail et contribuent au développement de l’absentéisme. Au-delà, la CFDT propose des solutions qui visent à circonscrire cette dégradation.

Une difficulté à sanctuariser la vie privée face au caractère invasif de l’activité professionnelle

Si le Télétravail constitue une avancée réelle en ce qu’il permet de gérer des contraintes (transports…), il a pour conséquence de rendre plus floue que par le passé la frontière entre vie professionnelle et vie privée. Là où il était facile de savoir qu’un collègue travaillait du fait de sa simple présence physique, il arrive fréquemment qu’un salarié soit sollicité alors qu’il n’est pas en poste.

Dans ces conditions, la récupération psychique que permettent les jours de congés ou de RTT est de plus en plus souvent altérée par sollicitations intempestives. Une pression insidieuse s’installe qui pousse certains à rédiger des messages d’absence intégrant un numéro de téléphone auquel les appeler en cas de besoin.

Pour la CFDT, il convient de développer des outils qui permettent de savoir de façon claire et rapide que le salarié n’est pas en poste et qu’il convient de ne pas le déranger.
À titre d’exemple, des entreprises ont développé une application smartphone qui permet de désactiver d’un clic les applications professionnelles en fin de journée, le week-end ou en congé.

Dans le même esprit, doivent être proscrits les messages d’absence qui ouvrent la possibilité d’être appelés pendant les congés.

Même s’ils sont volontaires, ils instituent une pratique que certains pourraient se sentir « coupables » de ne pas suivre.

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Une mise en avant excessive des valeurs comportementales & de l’attitude Corporate

Si le contrat de travail repose sur la bonne exécution d’une tâche confiée, les valeurs comportementales pèsent de plus en plus dans l’appréciation du salarié au détriment de l’évaluation technique.
Cette évolution induit incontestablement une charge mentale de nature à affecter l’équilibre psychique du salarié. Le salarié peut se sentir contraint d’adhérer à un modèle qui ne lui correspond pas, sans pour autant que la qualité de son travail ou son attitude soient sujets à critique.

La pratique des enquêtes internes auprès des salariés suit cette évolution en qualifiant les salariés de « promoteur » ou de « détracteur » selon les réponses apportées. Comment considérer que l’utilisation du terme « détracteur » est neutre et qu’elle ne fait pas peser sur le répondant émettant des opinions critiques une forme de culpabilité qui contribue à la fragilisation psychique. Enfin, nous constatons que les entretiens disciplinaires sont de plus en plus fréquemment fondés sur des sujets comportementaux et non sur la qualité de réalisation des tâches techniques.

Pour la CFDT on ne développe pas le véritable esprit d’entreprise par la contrainte, mais en faisant en sorte que le salarié aime sa société.
Plutôt que de qualifier de « détracteur » les salariés qui exercent positivement leur esprit critique, la CFDT préconise de les entendre et de prendre en compte les préconisations récurrentes. Renouer avec une valorisation du travail technique et redonner du sens au travail apparaît également indispensable.

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Une charge de travail toujours trop rarement évaluée et des remèdes tardifs

Dans de nombreux secteurs de l’entreprise, heureusement pas tous, la charge de travail est excessive, soumettant le salarié à un niveau de stress important, avec un sentiment de travail bâclé et une propension à déborder sur des horaires de travail raisonnables pour rester en ligne avec des objectifs fixés.

Bien souvent, faute d’indicateurs qui permettraient d’être réactifs face à une surcharge de travail, les ajustements d’effectifs arrivent trop tardivement, comme ultime solution pour s’extraire d’une situation devenue ingérable. Par ailleurs, la valorisation des salariés ayant fait face sur la durée à ces périodes de stress intense n’est pas à la hauteur de l’effort consenti et contribue à la précocité de la sensation d’usure au travail.

Une fois les recrutements intervenus, l’octroi des primes de tutorat intervient dans des conditions drastiques, donnant fréquemment aux tuteurs le sentiment que l’objectif est de ne pas la leur verser.

La CFDT persiste à demander ce qui lui avait été refusé lors de la dernière enquête QVT, à savoir l’évaluation trimestrielle de la charge de travail et non pas seulement annuelle. Sans déclenchement d’alertes précoces sur la charge de travail, le risque réside dans l’installation d’une fragilité psychique susceptible de perdurer après même le solutionnement du problème.

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Des conditions de travail dégradées

Si la possibilité de Télétravail constitue une avancée sur laquelle peu de salariés veulent revenir, les risques qui l’accompagnent n’ont pas été suffisamment pris en compte.

Plusieurs facteurs sont source de risque :

  1. Le délitement du collectif qui pèse sur l’état moral des salariés, particulièrement pour les plus jeunes qui vivent souvent seuls et travaillent à domicile dans un environnement peu adapté au travail.

    S’ils peuvent renoncer au télétravail, c’est souvent pour se retrouver isolés sur des plateaux dépeuplés où ils ne trouvent plus la vie collective qui favorise l’intégration.

  2. Un environnement dégradé par une volonté d’optimisation des surfaces par l’entreprise.

    Avec le Télétravail, la Direction cherche à optimiser les services en diminuant toujours le nombre de postes par salariés. Il en résulte une difficulté à s’installer dans un environnement agréable et entouré de collègues avec lesquels on souhaite travailler.

La CFDT considère qu’il convient d’accorder une attention accrue aux nouveaux arrivants et mettre en place les conditions qui garantissent leur bonne intégration. Les seules réunions institutionnelles sur site ne peuvent pas se substituer aux échanges informels, aux liens qu’ils génèrent et à la convivialité qui en découle.

Concernant l’optimisation des surfaces, la CFDT conjure la Direction de ne pas aller trop loin ce qui se traduirait inévitablement par une rigidification des règles de Télétravail, associerait le travail à un sentiment de contrainte.

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