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Auteur/autrice : admin4544

CSE CENTRAL DES 03 & 04 MAI 2023
augmentations individuelles, CRV et PPEI

Des écarts persistants dans les rémunérations :

La CFDT s’est engagée dans l’accord égalité depuis 2006. Malgré les sommes obtenues pour établir l’égalité salariale, les écarts sont encore nombreux. La cause ? Pour certaines catégories de salariées, cette année encore, les taux d’augmentation sont toujours en défaveur des femmes !

L’augmentation individuelle moyenne des femmes est de 3,68 % et 3,89 % pour les hommes. Dans ces conditions, il est illusoire d’espérer résorber les écarts de salaires. La situation est particulièrement flagrante chez les cadres. La CFDT dénonce cette tendance persistante qui va à rebours des objectifs affichés.

À notre demande l’enveloppe « égalité » est désormais distribuée dans une campagne différente de celle des augmentations individuelles afin d’éviter la confusion des budgets. La CFDT revendique que les budgets de changement de classe et de rattrapage de plancher de classe soient isolés de la même façon.

CRV & PPEI, des taux d’atteinte qui convergent :

Si les écarts des taux d’atteinte moyens d’une classe à l’autre subsistent marginalement, ils diminuent néanmoins sensiblement depuis 2 ans, ce dont la CFDT se félicite. Cette politique de convergence entre classes doit se poursuivre.

Toutefois, la CFDT regrette l’accroissement des écarts de taux d’atteinte individuel entre salariés, ce malgré le maintien d’un taux de retour moyen garanti de 80%. Quand elle intervient, la baisse de variable ne stimule pas le salarié mais accentue au contraire son ressenti de manque de reconnaissance.

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BILAN, PERSPECTIVES DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL

Sur les risques opérationnels comme sur les obligations réglementaires, le Secrétariat Général continue de réduire l’exposition de l’entreprise. Autre activité de cette direction, l’amélioration de l’expérience salarié, avec un bilan plus mitigé.

Les risques opérationnels et les exigences réglementaires sont de la responsabilité du Secrétariat Général.
Le nombre de risques opérationnels a été réduit, passant de 2 600 à 1 000 en quelques années.

L’équipe ACPR a procédé à 4 contrôles qui n’ont pas donné lieu à des remontées problématiques (Gel des avoirs, personnes politiquement exposées, activités internationales et dispositif de contrôle interne en IARD).

Pour la CFDT, l’amélioration de l’expérience salarié est rendue difficile, notamment en raison de la politique immobilière qui se traduit par la réduction du nombre de postes de travail à 5 ou 6 pour 10 salariés, mais aussi du fait des difficultés persistantes dans la gestion du parc auto.

Le développement des usages de l’intelligence artificielle n’est pas sans susciter des inquiétudes. Face à l’accélération des évolutions, la CFDT demande à la Direction la négociation d’un accord de cadrage.

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POLITIQUE EN FAVEUR DES SALARIÉS EN SITUATION DE HANDICAP

La CFDT est fière d’accompagner depuis l’origine la politique de l’entreprise en faveur des salariés en situation de handicap. La situation globale progresse, mais nous constatons de trop nombreux dysfonctionnements au niveau individuel dans la mise en œuvre de certaines mesures

bilan 2020-2022

Plus de 830 collaborateurs en situation de handicap déclaré.

9ème accord handicap agree – AXA FRANCE

L’enquête QVT (Qualité de vie au travail) aura lieu du 4 au 17 mai 2023, l’occasion de vous exprimer en toute transparence sur vos conditions de travail.

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LE CALENDRIER DES PROCHAINES ÉVOLUTIONS DE VOTRE RÉMUNÉRATION

Pour mémoire, nous vous rappelons les prochaines échéances qui impacteront votre rémunération :

SALAIRE DE JANVIER

  • Intégration des augmentations générales
  • Versement de la prime de partage de la valeur

SALAIRE DE MARS

  • Intégration des augmentations individuelles (à effet rétroactif au 1er janvier)
  • Versement des rémunérations variables (CRV, PPE/PPEI, CRI)

N’oubliez pas !

Il vous reste quelques jours pour monétiser vos JRA/JRTT 2022 non consommés dans le PERECO (qui peut recevoir jusqu’à 10 jours annuellement).

LA VÉRITÉ SUR LA MISE EN PLACE DES ASC POUR LA NOUVELLE MANDATURE

STOP AUX FAKE NEWS !

La CFDT se positionne pour préserver vos intérêts, vous garantir des prestations de haut niveau dans le cadre d’une représentation en conformité avec le choix que vous avez exprimé par votre vote.

Au regard des communications d’organisations concurrentes, nous vous proposons une séance de « détox » pour éviter la propagation de fake-news concernant le « dossier » des activités sociales et culturelles. Nous avons conscience que les bisbilles entre organisations ne valorisent pas l’action syndicale et que vous attendez surtout de vos élus qu’ils consacrent toute leur énergie à vous représenter et à défendre vos intérêts.

Nous ne pouvons cependant laisser dénigrer la CFDT sans réagir, d’où le droit de réponse qui suit. Comme vous le savez, chaque CSE compte parmi ses prérogatives la gestion des Activités Sociales et Culturelles.

Investi de cette responsabilité, et s’il estime qu’il pourra faire respecter le mandat qui lui a été confié par les salariés, le CSE peut néanmoins faire le choix de déléguer cette gestion à une structure commune à plusieurs CSE en lui reversant son budget.

LE CNI UNE CRÉATION DE LA CFDT

En 2018

les 2 organisations majoritaires (CFDT et CFE-CGC) ont créé une structure de ce type baptisée CNI, en définissant de concert et en parfait accord les règles de gestion applicables, y compris le choix de partager les postes décisionnaires entre leurs représentants eu égard à leur poids électoral respectif.

CFDT et CFE-CGC ont alors voté favorablement dans les 4 CSE pour adhérer au CNI et lui confier la gestion de la subvention Activités Sociales et Culturelles.

L’adhésion au CNI a donc été actée pour les 4 CSE, avec la garantie de respect de représentation des organisations majoritaires et donc du choix des salariés. Les salariés d’Axa France ont de ce fait pu bénéficier de prestations communes pendant toute la mandature.

En 2022

Les élections professionnelles de novembre ont conforté la position des 2 organisations majoritaires (CFDT et CFE-CGC), ce qui aurait dû permettre de repartir sur le même schéma, voire un schéma élargi à d’autres organisations comme le souhaitait la CFDT.

UN PUTSCH AU CNI

Toutefois, se décrétant désormais gardienne de la morale et considérant que son propre jugement a davantage de valeur que la légitimité résultant du vote, la CFE-CGC s’est rapprochée des organisations moins représentatives (UDPA-UNSA et FO) dans l’objectif d’établir des règles de fonctionnement du CNI 2022-2026 écartant de fait la CFDT de tout poste décisionnaire.

À noter qu’aucun élu CFDT n’a été convié à l’élaboration de ces règles.

Au regard de cette volonté d’exclusion de la CFDT, et alors même qu’elle représente plus de 30 % des salariés d’Axa France, les élus de notre organisation n’avaient d’autre choix que de voter contre l’adhésion à un CNI 2022-2026 dans lequel leurs voix seraient totalement ignorées. Ils auraient en revanche bien évidemment voté favorablement à l’adhésion à un CNI leur laissant leurs justes places dans le respect des votes émis par les salariés.

L’adhésion au nouveau CNI « frelaté » a toutefois été adoptée dans les CSE AEP, Fonctions Centrales et AIP-ERPI au moyen de l’alliance CFE-CGC/UNSA/FO, alors même que la CFDT était la première ou la deuxième organisation dans ces périmètres. Dans le 4e CSE, Santé Collectives, la majorité absolue que les salariés ont accordée à la CFDT ont empêché l’alliance de nuire et d’écarter arbitrairement la première organisation du périmètre de la gestion des Activités Sociales et Culturelles.

DES ACTIVITÉS SOCIALES ET CULTURELLES DE MÊME NIVEAU EXCLUSIVEMENT DÉDIÉES AUX SALARIÉS DU CSE SANTÉ COLLECTIVES

Faute de pouvoir confier la gestion des Activités Sociales et Culturelles à une structure dans laquelle ils ne sont pas représentés, le CSE Santé Collectives en ayant été exclu, les élus CFDT du CSE Santé Collectives n’avaient d’autre choix que d’en garder la gestion.

Ce choix n’est que la conséquence de l’exclusion de la CFDT des organes de décision du CNI.

Ce choix n’aura aucune conséquence négative sur le montant du budget qui sera consacré aux salariés (pourcentage de la masse salariale) ni sur la qualité des prestations qui leur seront proposées.

Les Activités Sociales et Culturelles du CSE Santé Collectives seront gérées par des élus investis et compétents qui ont démontré leur savoir-faire au sein du CNI 2018-2022. Structure qu’ils ont très largement contribué à mettre en place.

Encore une fois, la décision de gérer en direct les Activités Sociales et Culturelles dans le CSE Santé Collectives n’a été faite qu’après une étude nous permettant de conclure que les salariés concernés ne pâtiraient à aucun moment de la décision que les circonstances imposaient de prendre.

Notre objectif est celui d’une gestion exemplaire que nous aurons l’ambition d’étendre à tous les salariés d’Axa France dès que l’opportunité se présentera.

LE DEVENIR DU SITE DE VAL-DE-FONTENAY

DE FORTES MENACES PLANENT SUR LE SITE DE VAL-DE-FONTENAY

Constatant un taux d’occupation des postes de travail de l’ordre de 50 %, avec des pointes à 60 %, la Direction a jugé qu’il convenait d’optimiser les surfaces. L’une des solutions envisagées, pour ne pas dire privilégiée, résiderait dans la fermeture du site.

Cette fermeture impliquerait un rapatriement vers Nanterre, avec une vraie perte de qualité de vie au travail, notamment du fait de l’éloignement du domicile qui en résulterait pour de nombreux salariés.

Par ailleurs, avec un nouvel objectif affiché de 0,5 poste de travail par salarié (0,6 jusqu’alors), le risque de déficit de capacité serait réel sur les périodes de pic d’affluence. Qui plus est, quel intérêt à venir sur le site si les équipes sont amenées à être morcelées sur plusieurs étages ?!

Tout cela sans parler de la restauration, avec une aggravation inéluctable en termes de files d’attente, alors que la situation est déjà critique aujourd’hui.

De là à considérer que la Direction pourrait trouver la solution dans la réduction de la flexibilité du télétravail, avec davantage de planification imposée, il n’y a qu’un pas que nous ne souhaitons pas voir franchi.

LA CFDT DÉFENDRA LE MAINTIEN DU SITE DE VAL-DE-FONTENAY

La CFDT suivra ce dossier de très près avec comme premier objectif le maintien du site de Val-de-Fontenay. Si la Direction devait passer en force, des mesures de compensation en temps de travail, en jours de télétravail supplémentaires, en primes GPEC élargies seraient indispensables.

Des solutions permettant de garantir des conditions de travail décentes aux équipes qui seraient alors amassées à Nanterre devraient aussi être prévues. La CFDT refuse que la rentabilité amène à sacrifier la qualité de vie au travail.

LA MOBILISATION CONTRE LA RÉFORME DES RETRAITES SE POURSUIT

Le projet de réforme des retraites présenté par le gouvernement est marqué du sceau de l’injustice.

Le recul de l’âge légal de départ à la retraite, combiné à une accélération de la réforme Touraine, frappe de plein fouet les moins diplômés et les salariés aux carrières hachées.

N’oublions pas les séniors qui, mal-aimés des employeurs, sont souvent condamnés à finir leur carrière au chômage, alors même que la durée d’indemnisation de ce dernier vient de diminuer de 25 %.

Un simple index de l’emploi des séniors dans les entreprises n’y changera rien. La conséquence prévisible est que la population des séniors au RSA, avant de pouvoir faire valoir ses droits à la retraite, va exploser.

POUR FAIRE SAVOIR VOTRE OPPOSITION À CE PROJET INIQUE, MOBILISEZ-VOUS LE 31 JANVIER

SIGNEZ LA PÉTITION EN LIGNE !

L’actualité du mois de Décembre

Vous avez fait progresser la représentativité de la CFDT chez Axa France, la confortant comme la première organisation syndicale chez les salariés administratifs. Pourtant la Direction semble ne pas tirer les conclusions de ces résultats puisqu’elle a fait le choix d’écarter les revendications légitimes que nous avons formulées en matière de salaires.

Elle a pu le faire grâce à d’autres organisations qui ont considéré que le fait d’accepter ce qui était proposé était préférable au fait de maintenir des demandes qui, bien que plus ambitieuses, demeuraient néanmoins réalistes.

Malgré un accord validé sur ces bases insatisfaisantes, certains d’entre vous ont tenu à manifester leur mécontentement le 6 décembre à Nanterre et sur les sites de Province. Nous les remercions pour leur mobilisation.

Dans un contexte de tension sociale de plus en plus fort, il n’est pas exclu que des sujets nous amènent à de nouveaux appels à mobilisation. Nous aurons alors besoin de vous, car votre apport est essentiel ! Le choix de votre avenir vous appartient aussi !

Christophe VercoutèreDSC CFDT d’AXA FRANCE

LES DESSOUS D’UNE NÉGOCIATION SALAIRES EXPÉDITIVE

Une temporalité déloyale !

Une négociation Axa France
en seulement 2 réunions

avec des propositions mises sur la table lors de la 2e réunion, le mardi 29 novembre

Mise à signature de l’accord
sur la base des propositions
présentées le jour même, sans plus de discussions

Une annonce de la validation de l’accord par la Direction
du fait de la signature de deux organisations dès le mercredi 30 novembre, alors que la période d’ouverture de la signature n’était pas achevée

Un contenu insatisfaisant et parfois trompeur dans sa présentation !

Des taux d’augmentations générales présentés comme exceptionnels, mais à rapporter au niveau de l’inflation pour se faire une idée exacte de leur réel impact.
Pour la première fois, même les heureux bénéficiaires d’augmentations individuelles hypothétiques ne pourront pas maintenir leur pouvoir d’achat sur la période 2022/2023, une première dans l’histoire de l’entreprise !

Une prime de partage de la valeur instrumentalisée

Le versement d’une Prime de la Valeur d’un montant de 1 000 €, bien évidemment non récurrente, ne change pas la donne. Si elle produit un effet « cadeau de Noël », son faible montant n’est pas à la hauteur d’une compensation même ponctuelle des effets de l’inflation.

Par ailleurs, pour inciter à la signature de l’accord, la Direction a étendu cette prime à l’ensemble des salariés commerciaux du réseau AEP.
Si la CFDT est extrêmement favorable à toutes les mesures qui pourront améliorer le sort des commerciaux, elle considère comme une pratique déloyale le fait de les introduire dans une négociation ayant pour objet le salaire des administratifs. Cela revient à dire : « Si vous n’acceptez pas de signer l’accord sur les salaires des administratifs, les salariés commerciaux n’auront pas de prime. »
La Direction pouvait pourtant accorder cette prime aux commerciaux, y compris pour un montant supérieur, par :

  • Mesure unilatérale
  • L’ouverture d’une négociation spécifique

Attention, le plafonnement de la prime aux salaires inférieurs à 65.000€ se réfère à la rémunération annuelle brute théorique.
Si vous êtes à temps partiel, c’est donc la rémunération pour une activité à 100% qui sera prise en compte.

Une clause de revoyure « fantôme »

  • Si des signataires de l’accord disent avoir demandé à revoir la Direction à mi 2023 pour faire le point de la situation, ils omettent de préciser que la Direction a catégoriquement refusé d’intégrer une clause dite de revoyure à l’accord.
  • En clair, rien ne contraint la Direction et elle fera selon son bon vouloir puisqu’elle ne s’est pas engagée contractuellement. Pourtant l’engagement contractuel constitue la pierre angulaire dans toute négociation.

En cas de hausse exceptionnelle de l’inflation en 2023, l’accord ne permettra pas d’exiger une réouverture de la négociation.

L’accord 2023 sans rattrapage 2022 un bon accord ,
vraiment ?

Nous vous laissons juges !

Signataires
CFE-CGE
UDPA-UNSA

Non-Signataires
CFDT
FO

L’INCOMPRÉHENSIBLE
FIN DE L’ACCORD
SUR LE FORFAIT MOBILITÉS DURABLE

2022 : un droit nouveau à peaufiner

  • Mettre fin à l’impossibilité de financer un abonnement de transport en commun dans le cadre du forfait, option pourtant utile quand l’éloignement nécessite une mobilité mixte (ex : train + vélo).
  • Augmenter le montant du forfait de 400 €, inférieur à la limite supérieure prévue alors par la loi.

Néanmoins, la CFDT n’avait d’autre option que celle de valider un droit nouveau et prometteur allant dans le sens de l’histoire.

En 2021 la CFDT a été signataire d’un accord sur le forfait Mobilités durables, applicable dès le 1er. Janvier 2022 pour une durée d’un an.
Malgré ses imperfections et ses insuffisances, cet accord introduisait un financement des mobilités douces (achat & entretien liés aux véhicules de mobilité douce) au profit de salariés qui souhaitaient y recourir. Ce droit nouveau constituait un réel PLUS pour des salariés qui souhaitaient privilégier le vélo ou un autre moyen de transport en accord avec les préoccupations environnementales que nous ne pouvons plus ignorer.

La CFDT avait identifié des pistes d’amélioration de cet accord :

  • Mettre fin à l’impossibilité de financer un abonnement de transport en commun dans le cadre du forfait, option pourtant utile quand l’éloignement nécessite une mobilité mixte (ex : train + vélo).
  • Augmenter le montant du forfait de 400 €, inférieur à la limite supérieure prévue alors par la loi.

Néanmoins, la CFDT n’avait d’autre option que celle de valider un droit nouveau et prometteur allant dans le sens de l’histoire.

Renégociation 2023 : des propositions CFDT plus ambitieuses

Après une année d’expérimentation, une nouvelle négociation a été ouverte pour construire un accord 2023 amélioré sur la base du bilan 2022.
Pour grossir les rangs des 320 bénéficiaires de l’accord 2022, la CFDT a demandé :

  • Une hausse du forfait au maximum légal de 700 €.
  • Une plus grande souplesse dans les modalités d’utilisation du forfait.

Un projet d’accord 2023 en progression

La Direction a satisfait en partie ces nouvelles demandes en portant le forfait de 400 € à 500 € et en assouplissant les conditions d’usage sur certains points.
Même si la CFDT a considéré insuffisantes les avancées consenties, elle a néanmoins fait le choix de signer un accord dont elle estime la pérennisation indispensable en qualité d’acteur social responsable.

… Pourtant le refus de signature de 2 organisations syndicales prive les salariés de tous les dispositifs en faveur des mobilités durables ! Bravo l’engagement RSE !

En effet, c’est avec stupéfaction que la CFDT constate que le refus de signature de deux organisations syndicales a compromis non seulement l’accord, mais aussi la dynamique initiée par des équipes mobilisées pour sa mise œuvre.

Comment expliquer cette absence de signature à l’origine d’un fiasco préjudiciable aux bénéficiaires actuels, mais aussi aux potentiels futurs salariés intéressés ?
La CFDT n’a toujours pas la réponse…

Signataires
CFDT
UDPA-UNSA

Non-Signataires
CFE-CGC
FO