La CFDT se positionne pour préserver vos intérêts, vous garantir des prestations de haut niveau dans le cadre d’une représentation en conformité avec le choix que vous avez exprimé par votre vote.
Au regard des communications d’organisations concurrentes, nous vous proposons une séance de « détox » pour éviter la propagation de fake-news concernant le « dossier » des activités sociales et culturelles. Nous avons conscience que les bisbilles entre organisations ne valorisent pas l’action syndicale et que vous attendez surtout de vos élus qu’ils consacrent toute leur énergie à vous représenter et à défendre vos intérêts.
Nous ne pouvons cependant laisser dénigrer la CFDT sans réagir, d’où le droit de réponse qui suit. Comme vous le savez, chaque CSE compte parmi ses prérogatives la gestion des Activités Sociales et Culturelles.
Investi de cette responsabilité, et s’il estime qu’il pourra faire respecter le mandat qui lui a été confié par les salariés, le CSE peut néanmoins faire le choix de déléguer cette gestion à une structure commune à plusieurs CSE en lui reversant son budget.
LE CNI UNE CRÉATION DE LA CFDT
En 2018
les 2 organisations majoritaires (CFDT et CFE-CGC) ont créé une structure de ce type baptisée CNI, en définissant de concert et en parfait accord les règles de gestion applicables, y compris le choix de partager les postes décisionnaires entre leurs représentants eu égard à leur poids électoral respectif.
CFDT et CFE-CGC ont alors voté favorablement dans les 4 CSE pour adhérer au CNI et lui confier la gestion de la subvention Activités Sociales et Culturelles.
L’adhésion au CNI a donc été actée pour les 4 CSE, avec la garantie de respect de représentation des organisations majoritaires et donc du choix des salariés. Les salariés d’Axa France ont de ce fait pu bénéficier de prestations communes pendant toute la mandature.
En 2022
Les élections professionnelles de novembre ont conforté la position des 2 organisations majoritaires (CFDT et CFE-CGC), ce qui aurait dû permettre de repartir sur le même schéma, voire un schéma élargi à d’autres organisations comme le souhaitait la CFDT.
UN PUTSCH AU CNI
Toutefois, se décrétant désormais gardienne de la morale et considérant que son propre jugement a davantage de valeur que la légitimité résultant du vote, la CFE-CGC s’est rapprochée des organisations moins représentatives (UDPA-UNSA et FO) dans l’objectif d’établir des règles de fonctionnement du CNI 2022-2026 écartant de fait la CFDT de tout poste décisionnaire.
À noter qu’aucun élu CFDT n’a été convié à l’élaboration de ces règles.
Au regard de cette volonté d’exclusion de la CFDT, et alors même qu’elle représente plus de 30 % des salariés d’Axa France, les élus de notre organisation n’avaient d’autre choix que de voter contre l’adhésion à un CNI 2022-2026 dans lequel leurs voix seraient totalement ignorées. Ils auraient en revanche bien évidemment voté favorablement à l’adhésion à un CNI leur laissant leurs justes places dans le respect des votes émis par les salariés.
L’adhésion au nouveau CNI « frelaté » a toutefois été adoptée dans les CSE AEP, Fonctions Centrales et AIP-ERPI au moyen de l’alliance CFE-CGC/UNSA/FO, alors même que la CFDT était la première ou la deuxième organisation dans ces périmètres. Dans le 4e CSE, Santé Collectives, la majorité absolue que les salariés ont accordée à la CFDT ont empêché l’alliance de nuire et d’écarter arbitrairement la première organisation du périmètre de la gestion des Activités Sociales et Culturelles.
DES ACTIVITÉS SOCIALES ET CULTURELLES DE MÊME NIVEAU EXCLUSIVEMENT DÉDIÉES AUX SALARIÉS DU CSE SANTÉ COLLECTIVES
Faute de pouvoir confier la gestion des Activités Sociales et Culturelles à une structure dans laquelle ils ne sont pas représentés, le CSE Santé Collectives en ayant été exclu, les élus CFDT du CSE Santé Collectives n’avaient d’autre choix que d’en garder la gestion.
Ce choix n’est que la conséquence de l’exclusion de la CFDT des organes de décision du CNI.
Ce choix n’aura aucune conséquence négative sur le montant du budget qui sera consacré aux salariés (pourcentage de la masse salariale) ni sur la qualité des prestations qui leur seront proposées.
Les Activités Sociales et Culturelles du CSE Santé Collectives seront gérées par des élus investis et compétents qui ont démontré leur savoir-faire au sein du CNI 2018-2022. Structure qu’ils ont très largement contribué à mettre en place.
Encore une fois, la décision de gérer en direct les Activités Sociales et Culturelles dans le CSE Santé Collectives n’a été faite qu’après une étude nous permettant de conclure que les salariés concernés ne pâtiraient à aucun moment de la décision que les circonstances imposaient de prendre.
Notre objectif est celui d’une gestion exemplaire que nous aurons l’ambition d’étendre à tous les salariés d’Axa France dès que l’opportunité se présentera.
DE FORTES MENACES PLANENT SUR LE SITE DE VAL-DE-FONTENAY
Constatant un taux d’occupation des postes de travail de l’ordre de 50 %, avec des pointes à 60 %, la Direction a jugé qu’il convenait d’optimiser les surfaces. L’une des solutions envisagées, pour ne pas dire privilégiée, résiderait dans la fermeture du site.
Cette fermeture impliquerait un rapatriement vers Nanterre, avec une vraie perte de qualité de vie au travail, notamment du fait de l’éloignement du domicile qui en résulterait pour de nombreux salariés.
Par ailleurs, avec un nouvel objectif affiché de 0,5 poste de travail par salarié (0,6 jusqu’alors), le risque de déficit de capacité serait réel sur les périodes de pic d’affluence. Qui plus est, quel intérêt à venir sur le site si les équipes sont amenées à être morcelées sur plusieurs étages ?!
Tout cela sans parler de la restauration, avec une aggravation inéluctable en termes de files d’attente, alors que la situation est déjà critique aujourd’hui.
De là à considérer que la Direction pourrait trouver la solution dans la réduction de la flexibilité du télétravail, avec davantage de planification imposée, il n’y a qu’un pas que nous ne souhaitons pas voir franchi.
LA CFDT DÉFENDRA LE MAINTIEN DU SITE DE VAL-DE-FONTENAY
La CFDT suivra ce dossier de très près avec comme premier objectif le maintien du site de Val-de-Fontenay. Si la Direction devait passer en force, des mesures de compensation en temps de travail, en jours de télétravail supplémentaires, en primes GPEC élargies seraient indispensables.
Des solutions permettant de garantir des conditions de travail décentes aux équipes qui seraient alors amassées à Nanterre devraient aussi être prévues. La CFDT refuse que la rentabilité amène à sacrifier la qualité de vie au travail.
Le projet de réforme des retraites présenté par le gouvernement est marqué du sceau de l’injustice.
Le recul de l’âge légal de départ à la retraite, combiné à une accélération de la réforme Touraine, frappe de plein fouet les moins diplômés et les salariés aux carrières hachées.
N’oublions pas les séniors qui, mal-aimés des employeurs, sont souvent condamnés à finir leur carrière au chômage, alors même que la durée d’indemnisation de ce dernier vient de diminuer de 25 %.
Un simple index de l’emploi des séniors dans les entreprises n’y changera rien. La conséquence prévisible est que la population des séniors au RSA, avant de pouvoir faire valoir ses droits à la retraite, va exploser.
POUR FAIRE SAVOIR VOTRE OPPOSITION À CE PROJET INIQUE, MOBILISEZ-VOUS LE 31 JANVIER
Vous avez fait progresser la représentativité de la CFDT chez Axa France, la confortant comme la première organisation syndicale chez les salariés administratifs. Pourtant la Direction semble ne pas tirer les conclusions de ces résultats puisqu’elle a fait le choix d’écarter les revendications légitimes que nous avons formulées en matière de salaires.
Elle a pu le faire grâce à d’autres organisations qui ont considéré que le fait d’accepter ce qui était proposé était préférable au fait de maintenir des demandes qui, bien que plus ambitieuses, demeuraient néanmoins réalistes.
Malgré un accord validé sur ces bases insatisfaisantes, certains d’entre vous ont tenu à manifester leur mécontentement le 6 décembre à Nanterre et sur les sites de Province. Nous les remercions pour leur mobilisation.
Dans un contexte de tension sociale de plus en plus fort, il n’est pas exclu que des sujets nous amènent à de nouveaux appels à mobilisation. Nous aurons alors besoin de vous, car votre apport est essentiel ! Le choix de votre avenir vous appartient aussi !
Une négociation Axa France en seulement 2 réunions avec des propositions mises sur la table lors de la 2e réunion, le mardi 29 novembre
Mise à signature de l’accord sur la base des propositions présentées le jour même, sans plus de discussions
Une annonce de la validation de l’accord par la Direction du fait de la signature de deux organisations dès le mercredi 30 novembre, alors que la période d’ouverture de la signature n’était pas achevée
Un contenu insatisfaisant et parfois trompeur dans sa présentation !
Des taux d’augmentations générales présentés comme exceptionnels, mais à rapporter au niveau de l’inflation pour se faire une idée exacte de leur réel impact. Pour la première fois, même les heureux bénéficiaires d’augmentations individuelles hypothétiques ne pourront pas maintenir leur pouvoir d’achat sur la période 2022/2023, une première dans l’histoire de l’entreprise !
Une prime de partage de la valeur instrumentalisée
Le versement d’une Prime de la Valeur d’un montant de 1 000 €, bien évidemment non récurrente, ne change pas la donne. Si elle produit un effet « cadeau de Noël », son faible montant n’est pas à la hauteur d’une compensation même ponctuelle des effets de l’inflation.
Par ailleurs, pour inciter à la signature de l’accord, la Direction a étendu cette prime à l’ensemble des salariés commerciaux du réseau AEP. Si la CFDT est extrêmement favorable à toutes les mesures qui pourront améliorer le sort des commerciaux, elle considère comme une pratique déloyale le fait de les introduire dans une négociation ayant pour objet le salaire des administratifs. Cela revient à dire : « Si vous n’acceptez pas de signer l’accord sur les salaires des administratifs, les salariés commerciaux n’auront pas de prime. » La Direction pouvait pourtant accorder cette prime aux commerciaux, y compris pour un montant supérieur, par :
Mesure unilatérale
L’ouverture d’une négociation spécifique
Attention, le plafonnement de la prime aux salaires inférieurs à 65.000€ se réfère à la rémunération annuelle brute théorique. Si vous êtes à temps partiel, c’est donc la rémunération pour une activité à 100% qui sera prise en compte.
Une clause de revoyure « fantôme »
Si des signataires de l’accord disent avoir demandé à revoir la Direction à mi 2023 pour faire le point de la situation, ils omettent de préciser que la Direction a catégoriquement refusé d’intégrer une clause dite de revoyure à l’accord.
En clair, rien ne contraint la Direction et elle fera selon son bon vouloir puisqu’elle ne s’est pas engagée contractuellement. Pourtant l’engagement contractuel constitue la pierre angulaire dans toute négociation.
En cas de hausse exceptionnelle de l’inflation en 2023, l’accord ne permettra pas d’exiger une réouverture de la négociation.
L’accord 2023 sans rattrapage 2022 un bon accord , vraiment ? Nous vous laissons juges !
Mettre fin à l’impossibilité de financer un abonnement de transport en commun dans le cadre du forfait, option pourtant utile quand l’éloignement nécessite une mobilité mixte (ex : train + vélo).
Augmenter le montant du forfait de 400 €, inférieur à la limite supérieure prévue alors par la loi.
Néanmoins, la CFDT n’avait d’autre option que celle de valider un droit nouveau et prometteur allant dans le sens de l’histoire.
En 2021 la CFDT a été signataire d’un accord sur le forfait Mobilités durables, applicable dès le 1er. Janvier 2022 pour une durée d’un an. Malgré ses imperfections et ses insuffisances, cet accord introduisait un financement des mobilités douces (achat & entretien liés aux véhicules de mobilité douce) au profit de salariés qui souhaitaient y recourir. Ce droit nouveau constituait un réel PLUS pour des salariés qui souhaitaient privilégier le vélo ou un autre moyen de transport en accord avec les préoccupations environnementales que nous ne pouvons plus ignorer.
La CFDT avait identifié des pistes d’amélioration de cet accord :
Mettre fin à l’impossibilité de financer un abonnement de transport en commun dans le cadre du forfait, option pourtant utile quand l’éloignement nécessite une mobilité mixte (ex : train + vélo).
Augmenter le montant du forfait de 400 €, inférieur à la limite supérieure prévue alors par la loi.
Néanmoins, la CFDT n’avait d’autre option que celle de valider un droit nouveau et prometteur allant dans le sens de l’histoire.
Renégociation 2023 : des propositions CFDT plus ambitieuses
Après une année d’expérimentation, une nouvelle négociation a été ouverte pour construire un accord 2023 amélioré sur la base du bilan 2022. Pour grossir les rangs des 320 bénéficiaires de l’accord 2022, la CFDT a demandé :
Une hausse du forfait au maximum légal de 700 €.
Une plus grande souplesse dans les modalités d’utilisation du forfait.
Un projet d’accord 2023 en progression
La Direction a satisfait en partie ces nouvelles demandes en portant le forfait de 400 € à 500 € et en assouplissant les conditions d’usage sur certains points. Même si la CFDT a considéré insuffisantes les avancées consenties, elle a néanmoins fait le choix de signer un accord dont elle estime la pérennisation indispensable en qualité d’acteur social responsable.
… Pourtant le refus de signature de 2 organisations syndicales prive les salariés de tous les dispositifs en faveur des mobilités durables ! Bravo l’engagement RSE !
En effet, c’est avec stupéfaction que la CFDT constate que le refus de signature de deux organisations syndicales a compromis non seulement l’accord, mais aussi la dynamique initiée par des équipes mobilisées pour sa mise œuvre.
Comment expliquer cette absence de signature à l’origine d’un fiasco préjudiciable aux bénéficiaires actuels, mais aussi aux potentiels futurs salariés intéressés ? La CFDT n’a toujours pas la réponse…
Lors des Réunions du 28/29 novembre, sous la pression, la Direction a revu sa copie, mais sans atteindre un niveau de propositions acceptable !
En responsabilité, et bien qu’habituellement très engagée dans la régularisation d’accords d’entreprises, La CFDT ne signera donc pas l’accord sur les salaires.
RESTONS MOBILISÉS POUR LE 6 DÉCEMBRE !
Le nouvel Accord : un condensé de mesures en trompe l’œil
Si la communication de la Direction et des signataires met en avant une enveloppe d’augmentation de 5 %, il faut souligner que ce sont seulement 3,5 % (non cadres) et 3 % (cadres) qui bénéficieront à tous. En effet, les Augmentations Individuelles resteront un mirage pour beaucoup.
Malgré des résultats exceptionnels et l’engagement des salariés, la Direction n’a donc pas souhaité compenser l’inflation de façon significative. L’accord qui entre en vigueur entame donc une période de diminution du salaire « réel » qui durera autant que la période inflationniste.
La CFDT attend d’une entreprise qu’elle préserve de façon équitable les intérêts de ses actionnaires, de ses dirigeants et de ses salariés.
Participez à notre mouvement du 6 décembre organisé sur les sites pour faire connaître votre mécontentement.
Pourquoi le contenu de l’accord n’est pas acceptable :
Une Prime de Partage de la valeur de 1000€ versée en janvier 2023 qui compense moins de 50 % de l’inflation 2022 et dont sont exclus les salariés dont la rémunération dépasse 65 K€.
Des niveaux d’Augmentations Générales de 3,5 % (non-cadres) et 3 % (cadres) qui semblent d’autant plus insuffisants que la Direction en plafonne le montant à 1 800 € pour les cadres et qu’elle refuse catégoriquement d’intégrer une clause de revoyure qui permettrait de les réviser si l’inflation devait s’aggraver en 2023.
L’entreprise dispose de ressources importantes au regard de ses excellents résultats et prend en compte l’inflation dans le calcul des primes facturées aux clients.
La CFDT ne se satisfait pas des propositions de la Direction
La CFDT persiste à revendiquer de l’entreprise qui en a les moyens, des Augmentations Générales non plafonnées pour tous à un niveau d’au moins 5%, avec une clause de revoyure à juillet 2023 pour une adaptation à la conjoncture.
La CFDT demande une Prime de Partage de la Valeur ajoutée de 2.000€ à verser en 2022, non plafonnée et au bénéfice de tous.
*Vous pouvez consulter les propositions initiales de la Direction en bas de page.
CONTINUONS LA MOBILISATION EN FAVEUR DE NOTRE POUVOIR D’ACHAT ! MOBILISONS-NOUS LE 6 DÉCEMBRE !
C’EST ENSEMBLE QUE NOUS POURRONS DONNER DE L’ÉCHO À NOTRE MÉCONTENTEMENT !
Nous invitons tous les salariés d’Axa France à se réunir devant l’entrée des sites de
le mardi 6 décembre
En vous réunissant et en faisant du bruit, vous ferez connaître votre mécontentement.
Pour défendre notre pouvoir d’achat, nous devons faire bloc!
Dernières propositions de mesures qui figurent dans l’accord
AUGMENTATIONS GÉNÉRALES
Classes 1 à 4
Classe 5 et 6
Classe 7
+3,5%
+3%
+3%
Pour les non-cadres : Un niveau minimum sera garanti à hauteur de 1 200 €.
Pour les cadres des classes 5, 6 et 7 : Un plafond de 1 800 € limitera ses effets à la partie de rémunération qui n’excède pas 60 000 €
AUGMENTATIONS INDIVIDUELLES
Classe 1 à 4
Classe 5, 6 & 7
+1,5%
+2,0%
Pour les non-cadres : Nous n’avons aucune visibilité sur l’attribution de ce budget. L’essentiel semble orienté vers les métiers en tension.
Pour les cadres : Nous n’avons aucune visibilité sur l’attribution de ce budget. L’essentiel semble orienté vers les métiers en tension.
Les effectifs doivent être en adéquation avec la charge d’activité et la vie du service. Ce n’est pas aux salariés présents d’absorber la surcharge d’activité.
Nous avons sauvé de nombreux emplois en refusant l’intégration d’un Accord de Performance Collective dans la 1ère mouture de la GPEC.
Les emplois et les effectifs vont être au coeur du mandat.
La direction met la « charrue avant les boeufs ». Elle supprime les effectifs avant la mise en place d’outils de simplification.
Les salariés payent 2 fois la note :
Une charge de travail accrue par le manque d’effectif
Et une surcharge d’activité inhérente à la mise en place de nouveaux outils
TRAVAILLER SANS ÊTRE INTERROMPU
Au fil des années, les nouveaux outils de communication ne remplacent pas les anciens, ils se cumulent.
Appels, mails, Teams, chat, SMS, whatApp, etc. Toutes les enquêtes QVT le démontrent. Les salariés sont constamment interrompus dans leurs tâches.
L’entreprise doit se réinventer et mettre en place de nouvelles méthodes pour offrir des temps de concentration nécessaires pour finir ses tâches.
ANTICIPER LES MOBILITÉS
Que les mobilités soient voulues ou subies, la direction doit en anticiper les effets de bord.
Compenser la perte d’effectif dans le service du salarié sortant,
Prévoir les ressources pour le service qui accueille (coaching, tutorat, etc…),
Les activités des salariés sont imbriquées entre elles. Un salarié qui part ou qui arrive impacte la charge de travail des collègues du service.