Suite à nos interventions, un point a été fait par les pilotes du projet avec le management et les référents.
Il nous est présenté l’ajout de bulles d’entretien sur le plateau, soit un emplâtre sur une jambe de bois, mais aucune solution permettant des conditions de travail acceptables.
Il n’est toujours pas tenu compte de la charge mentale des personnes en contact avec les victimes, de la concentration nécessaire pour gérer des dossiers corporels graves.
Les casiers individuels, trop nombreux, sont concentrés à un même endroit et génèrent des nuisances liées au passage.
Trop de salariés dans un espace restreint:
– l’équipe DAAPE ne traitant pas de données médicales pourrait travailler hors espace Belorgey.
– de nombreuses salles à proximité, restant inoccupées la plupart du temps, pourraient être réaménagées en espace de travail pour les équipes qui gèrent les corporels graves.
Enfin des solutions existent, mais encore faut-il tenir compte des contraintes métiers! En l’absence d’avancée, nous envisageons de faire remonter le sujet en CSE AIP ERPI.